Exposition : Hyperréalisme

Musée de la Boverie, Liège

Exposition Hyperréalisme – Ceci n’est pas un corps

En sculpture, la notion d’hyperréalisme est apparue dans les années 60 aux Etats-Unis. Initialement, le but était d’imiter au mieux le corps humain sous tous ses aspects, pour créer l’illusion parfaite. Cette exposition permet au spectateur de voir l’évolution de ce mouvement et les différentes techniques utilisées par les artistes pour accéder à cette réalité.

L’exposition est divisée en six sections différentes: « Répliques humaines »,  « Monochrome », « Morceaux de corps », « Jeux de taille », « Réalités difformes » et « Frontières mouvantes ».

Cette dernière partie est consacrée à l’hyperréalisme d’aujourd’hui et est adaptée aux nouveaux médias et aux outils numériques dont on dispose. Apparemment, elle a spécialement été créée pour la version liégeoise de l’exposition.  Et franchement c’était bluffant.

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La sculptrice américaine Carole A. Feuerman, dont les célèbres nageuses, introverties et volontaires, semblent avoir atteint une parfaite harmonie intérieure, fait oeuvre de précurseur. Par la suite, dans les années 1990, de nombreux artistes se sont mis à utiliser le style hyperréaliste de manière inédite et personnelle.

Au lieu de créer l’illusion d’une corporéité parfaite, prise dans son entièreté, ils se sont concentrés sur des parties spécifiques du corps, s’en servant pour véhiculer des messages à tonalités humoristique ou dérangeants, comme c’est le cas par exemple dans l’oeuvre de Maurizio Cattelan où des bras tendus, pris isolément du corps, font référence à des événements politiques de l’histoire récente.

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Pour les amateurs, la prochaine exposition Warhol, The American Dream Factory revient sur la carrière de cet artiste parmi les plus influents du XXe siècle et la confronte aux soubresauts de son époque. Au fil de trois décennies, le parcours met en lumière les moments de résonance particuliers entre l’oeuvre de cet artiste d’exception et l’évolution de la société américaine, à travers une approche pluridisciplinaire. Si elle entend interroger une oeuvre à l’écho toujours vivace aujourd’hui, l’exposition se veut aussi un portrait vivant de cette Amérique dont il a su capter l’âme comme nul autre de ses contemporains.
Grâce à une scénographie riche et audacieuse, le coeur de la Boverie battra au rythme des folles nuits de Manhattan, lorsque musiciens, poètes, acteurs, plasticiens et excentriques de tous bords se retrouvaient à la Factory.

A partir du 2 octobre 2020, au Musée de la Boverie à Liège.

Exposition Andy Warhol

 

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